À chaque fois qu’un véhicule y circulait, un dos d’âne générait des vibrations et des bruits importants dans la résidence d’un citoyen qui habite juste en face. Selon notre enquête, aucune étude ou analyse préalable n’avait été effectuée par l’arrondissement pour confirmer que l’installation d’un dos d’âne à cet endroit, entre deux arrêts obligatoires rapprochés, était appropriée ou même souhaitable.
L’Ombudsman de Montréal a donc RECOMMANDÉ que le dos d’âne soit retiré, ce qui fut fait.